Il y a des morts pleines de sens, des sacrifices qui nous marquent, des circonstances qui nous bouleversent.
Et puis il y a les autres.
Si vous ne connaissez pas les Darwin Awards, apprêtez-vous à être surpris par les capacités sans limites de l’homme de mourir de causes ou de circonstances vraiment idiotes. Car les Darwin Awards compile précieusement les morts les histoires réelles de morts les plus stupides.
« Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux aux changements. » disait Charles Darwin, et c’est sur cette citation bien à propos que repose toute l’œuvre des Darwin Awards.
Parmi la longue liste établie par le site, nous avons retenu 10 histoires marquantes. De quoi nous faire apprécier un peu plus chaque jour.
1. Tué par une vitre pas très solide
Un notaire de 39 ans, Garry Hoy, est tombé du 24e étage de l’immeuble Bank Tower à Toronto en démontrant la solidité des vitres à des étudiants. Son coup d’épaule sortit la vitre de son cadre et il s’écrasa 24 étages plus bas.
2. Mort à cause de ballons bien gonflés
Un révérend brésilien a essayé de battre le record du plus long vol accroché à des ballons de baudruche, soit 19 heures. Harnaché de 1000 ballons gonflés à l’hélium il s’est élancé, s’est perdu, s’est fait emporter par le vent et fut retrouvé mort sur la côte brésilienne trois mois après le décollage.
3.
Un parachute fait maisonAugusto était le genre d’homme qui a une mission à accomplir.
Il monta à bord d’un avion d’Air Philippines à destination de Manille, et enfila une cagoule de ski et des lunettes de natation.Puis il sortit un pistolet et une grenade et annonça qu’il allait détourner l’avion.
Il exigea que l’avion retourne à Davao City, mais les pilotes réussirent à le convaincre qu’ils n’avaient plus assez de carburant pour faire demi-tour et ils continuèrent vers Manille.Ne perdant pas son sang-froid, Augusto entreprit de dévaliser tous les passagers (il récolta 25 000 dollars !) et demanda aux pilotes de descendre à basse altitude.
Pendant ce temps, Augusto, équipé d’un parachute qu’il avait fabriqué lui-même, obligea le personnel de cabine à dépressuriser l’avion et à ouvrir la porte.Il avait sans doute l’intention de sauter mais le vent était si violent qu’il ne parvenait pas à s’extraire de l’avion.
Finalement, un des stewards le poussa à l’extérieur au moment où il dégoupillait sa grenade.Augusto a alors jeté la goupille de la grenade à l’intérieur de l’avion (oups !) et a poursuivi sa chute avec le reste de la grenade dans les mains… L’impact que fit Augusto en percutant le sol eut un effet très limité sur le reste du monde.
4.
Une batterie comme cricSa voiture étant en panne, Phil avait besoin de faire des réparations sur la partie inférieure de celle-ci.
Mais lorsqu’il la souleva à l’aide de son cric, il se rendit compte qu’il n’avait pas assez de place pour travailler.Il retira donc la batterie de sa voiture, la plaça sous le cric et commença à travailler plus confortablement.
Mais malheureusement pour Phil, les batteries de voiture ne sont pas faites pour supporter autant de poids. La batterie s’écrasa, faisant tomber le cric, ce qui bloqua Phil sous la voiture.Incapable de respirer à cause de la pression sur sa poitrine, il décéda rapidement, baignant dans l’acide de la batterie.
Cet incident est d’autant plus idiot que Phil était chargé de la prévention des accidents dans une grande usine de traitement de nourriture et que dix ans plus tôt, il fut coincé sous sa voiture, quasiment dans les même circonstances, mais réussit à s’en sortir seulement avec une jambe cassée.La preuve que certaines personnes n’apprennent tout simplement pas, même de leurs propres erreurs.
5.
Un briquet et… boom!Dans la vie, Manuel était responsable du nettoyage des réservoirs des camions-citernes transportant de l’essence.
Ce jour là il commença à remplir un réservoir avec de l’eau, la procédure normale pour forcer l’évacuation des vapeurs inflammables, avant de partir faire autre chose en attendant que le remplissage soit fini.
Une heure plus tard, il revint pour vérifier le niveau d’eau mais il eut du mal à savoir si il y en avait assez, l’intérieur du réservoir étant très sombre.Mais Manuel était plein de ressources, il alluma donc son briquet pour éclairer le réservoir et voir où le remplissage en était, oubliant totalement la raison pour laquelle il le remplissait d’eau… L’explosion qui suivit la lui rappela en l’envoyant voler 100 mètres plus loin, gravement brûlé et le crane fracassé contre le sol du parking.
6.
Vouloir prouver qu’on a raison… quand on a tort.Nguyen, 21 ans, était en train de boire avec des amis à Hanoi, lorsqu’il sortit un vieux détonateur qu’il avait trouvé.
Il faisait près de six centimètres de long, pour huit centimètres de diamètre, et deux fils pendaient.Du fait de sa vétusté et de la rouille, Nguyen expliqua qu’il ne pouvait pas exploser.
Ses amis n’étaient pas du même avis. Afin de prouver qu’il avait raison, Nguyen plaça le détonateur dans sa bouche et demanda à un de ses amis de brancher les fils sur une prise de 220 volts.Il s’avéra que Nguyen s’était trompé ! La victime eut très peu de temps pour réfléchir à son erreur.
D’après la police, l’explosion lui souffla les joues et lui fracassa toutes les dents. Il mourut sur le chemin de l’hôpital.7.
Un bon élève.C’était durant la première semaine d’un stage de remise à niveau sur les armes, et le détachement de l’armée suisse venait de terminer un entraînement à balles réelles.
L’instructeur donna l’ordre aux soldats de mettre le cran de sûreté sur leurs armes avant de partir en pause.
Le sous-lieutenant de 24 ans, responsable du détachement, décida que c’était le moment idéal pour montrer une attaque sur un soldat à l’aide d’un couteau.Brandissant sa baïonnette, il bondit vers l’un de ses hommes, le prenant complètement par surprise.
Mais en début de semaine, les soldats avaient été entraînés à enlever le cran de sûreté et être prêts à faire feu le plus rapidement possible.Le soldat, surpris de voir son supérieur se jeter sur lui avec un couteau, tira pour se protéger de l’attaque.
La leçon n’aurait pas pu être plus réussie : le soldat avait sauvé sa vie et protégé le reste du détachement d’une attaque surprise.Le sous-lieutenant aurait voulu féliciter le soldat de sa réaction rapide et de son adresse au tir.
Malheureusement, il fut tué d’une seule balle. Et voici pourquoi, les enfants, il ne faut pas jouer avec des couteaux ou des armes. Jamais.Et ce même si nous sommes des professionnels entraînés, et surtout lorsque la cible est un autre professionnel.
8.
La gravité a toujours raison.PLANKING ? Qu’est-ce-que c’est ? C’est l’idée saugrenue de faire la planche dans un lieu insolite – chemin de fer, bouches d’incendie, cordes à linges- et afficher les photos sur un site.
Cet engouement australien a infecté notre pauvre M.
Acton, un passionné de planking qui ne savait pas que les balcons sont les fournisseurs officiels de Darwin Award ! L’appareil était prêt, le jeune homme de 20 ans s’est installé face vers le bas en s’accrochant à la balustrade, les bras contre son torse, raide comme une planche.Oh non… une crampe ! Il est tombé.
Et enterré entre quatre planches.9.
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Un concours de gagné… une vie de perdue.
On dit souvent « la maturité vient avec l’âge », et il y a des execptions a la règle… A Clermont-Ferrand, notre candidat de 57 ans a participé à un concours de « shooters ».
Le but : ingurgiter le plus de petits cocktails d’alcool possible, des alcools servis dans des verres de 5 ou 10cl, vodka, rhum ou whisky tout y passe.L’homme a battu le précédent record en buvant 56 verres à la chaîne !!! Sauf que la soirée a viré au tragique, l’homme est tombé dans un coma éthylique.
Pris en charge par le Samu, il est finalement décédé le lendemain à l’hôpital.
10.
Un dernier repas.« Regardez ça ».
Ce sont les derniers mots qu’a prononcés Darren Bray, un gallois de 29 ans en tentant d’avaler d’une seule bouchée un hamburger McDonald’s plié en deux. L’homme est décédé quelques instants plus tard de suffocation.Le médecin légiste qui l’a examiné a constaté que Monsieur Bray avait bu de l’alcool, mais pas assez pour que cela affecte son jugement.
Il a retrouvé un morceau de nourriture long de 8 cm bloqué dans sa gorge. « Il ne pouvait pas respirer avec ça coincée dans la trachée » a-t-il conclu.
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