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La Bretagne en tête des régions françaises les plus ensoleillées au mois de mai

Crédit photo : Futura-Sciences


L’année 2020 est décidément une année pas comme les autres ! Réputée pour son climat pluvieux, la Bretagne est en tête des régions les plus ensoleillées de France au mois de mai !

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La Bretagne en tête des régions françaises les plus ensoleillées au mois de mai

 

D’après les données fournies par Météo Bretagne, récoltées à partir de ses 70 stations, la Bretagne s’affiche en tête des régions françaises les plus ensoleillées au mois de mai.

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Trois stations bretonnes sont parmi les coins les plus ensoleillés de France. Au 24 mai, Lorient comptait 235 heures de soleil, Quimper avait vu le soleil briller pendant 232 heures. C’est mieux que n’importe où ailleurs en France, y compris Ajaccio, qui se place troisième en termes d’ensoleillement en mai. Vannes est quatrième.

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La Bretagne a donc battu la Corse ! Le temps a été perturbé sur la Méditerranée notamment « en raison de la récurrence de basses pressions » dans la région selon Météo Bretagne.point 168 | Tandis que la péninsule française a profité d’un anticyclone qui ne semble pas prêt à partir.point 257 |

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André Pellen, prévisionniste à Météo France précise : « L’anticyclone est puissant.point 83 | Il s’est installé sur les îles britanniques et protège la France des perturbations ».point 163 | 1

 

 

Et les prévisions pour les jours à venir ne feront pas perdre son titre de championne du mois à la Bretagne. André Pellen annonce : « Jeudi, grand ciel bleu, vendredi, grand ciel bleu ».

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La chaleur est aussi au rendez-vous

 

La chaleur est elle aussi au rendez-vous avec des températures avoisinant les 30 degrés. Malgré tout, le record historique de température ne devraient pas être battu. À Rennes, le 25 mai 1953, on avait atteint les 30,8 degrés.

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En avril, un record a été battu à Brest. Le thermomètre annonçait 25 degrés le vendredi 10 avril, soit 12 degrés de plus que la normale du mois d’avril.

 

La moyenne des températures en mai était supérieure à la normale saisonnière de deux degrés. Un constat qui semble être devenu une normalité : « Les douze derniers mois ont affiché la même tendance », confie le prévisionniste de Météo-France.

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Une hausse des températures qui concordent avec les scénarios établis par les scientifiques qui annonce que d’ici 2100, les températures augmenteront « entre trois et sept degrés ».

 

 

 

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