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    Categories: Famille

Pendant 14 ans, des parents ont blâmé leur fils pour la mort de son grand-père, il révèle enfin son secret


Nous avons tous des secrets et des fardeaux à porter, mais les plus douloureux sont ceux que vous devez cacher à votre famille et à vos amis.

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Ces parents ont blâmé leur fils pour la mort de son grand-père pendant 14 ans. Il s’en occupait quand il est décédé et n’a pas essayé de sauver sa vie.

«Mes parents m’ont blâmé pour la mort de mon grand-père parce que je « ne le surveillais pas lorsqu’il est décédé et je n’ai pas essayé de le sauver ».» Cependant, l’adolescent a un secret qui a changé l’esprit de chacun.

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Pendant plus d’une décennie, il a porté cette lourde charge. Pour enfin libérer la pression de son cœur, le jeune homme de 28 ans a décidé de partager ce qui s’est passé avec les autres internautes.

« La façon dont je raconte cette histoire est un peu nonchalante », a-t-il écrit. «Cela a eu lieu il y a si longtemps que j’ai eu le temps de faire face et de réfléchir à ce qui s’est passé et à la façon dont cela m’a changé.» Continuez à faire défiler l’écran pour lire ses aveux et partagez vos pensées avec nous dans la section des commentaires.

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(« Mes parents m’accusent d’être le responsable de la mort de mon grand-père car je ne le surveillais pas quand il est mort et que je n’ai rien tenté pour l’aider ».

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(« J’avais 13-14 ans et mon grand-père avait déjà été en ré-animation plusieurs fois et à l’hopital plus de fois que je ne peux compter. »)

 

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(« Il a survécu à la Polio, et bien d’autres maladies. Il était fatigué de vivre et de se réveiller à l’hopital avec un tube dans la gorge pour respirer. »)

 

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(« Un jour, il m’a demandé de venir dans sa chambre et m’a tendu un papier. Il m’a dit que c’était un document légal qui disait de ne pas tenter de sauver sa vie. »)

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(« Il m’a dit qu’il pouvait faire confiance à tout le monde dans la famille pour sa vie, mais qu’il ne faisait confiance qu’à moi pour sa mort. »)

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(« Quelques jours plus tard, il m’a demandé de venir à nouveau le voir et il m’a confié qu’il ne se sentait pas bien. Je me suis assis à côté de lui pendant toute sa crise cardiaque, et j’ai tenu sa main pour le soutenir jusqu’à ce qu’il s’évanouisse. »)

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(Après qu’il ai arrêté de respirer, je l’ai relevé et l’ai mis sur le sol. Je suis resté assis là pour le regarder pendant un long moment. Une heure plus tard, j’ai appelé les urgences pour déclarer son décès. »)

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(« Mes parents sont arrivés quelques minutes après les urgences, et je ne l’ai pas appelé pour ne pas éveiller le moindre soupçon. »)

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Voici ce que d’autres ont répondu:

 

(Respecter les souhaits de fin de vie de nos proches est très dur, mais essentiel. On comprendra leurs souhaits quand notre tour sera venu. »)

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(« En tant qu’infirmière qui travaille en service de réanimation cardiaque, tu as bien fait. Sérieusement. Avec son document légal tu n’as rien à te reprocher, c’est ce qu’il voulait. Tu as vraiment bien fait. »)

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(« C’est triste qu’il n’ai pas pu discuter de ses souhaits de fin de vie avec tes parents. Tout le monde a le droit à une mort digne ».)

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(« Tu as fait ce qu’il fallait. »)

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(« Être un héro ne veut pas forcément dire médailles et remerciements. Tu as fait ce qu’il fallait pour l’un de tes proches. Chapeau. »)

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Que pensez-vous de ceci? Pensez-vous aussi qu’il a fait la bonne chose? Faites-le-nous savoir dans la section des commentaires!

 

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