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Selon une étude, la présence de femmes au gouvernement d’un pays améliore considérablement la santé de sa population

Two female politicians sitting at political conference


De nouvelles recherches ont prouvé la corrélation étroite entre le nombre de femmes présentent dans un gouvernement et la santé de la population du pays.

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Plus il y a de femmes, et mieux la population se porte.

Une étude publiée dans la revue SSM – Population Health présente les conséquences étonnantes de la présence de femmes au pouvoir. Cette étude part d’un postulat simple comme l’explique ses dirigeants : « Si l’augmentation du nombre de femmes occupant des postes de pouvoir favorise l’équité entre les sexes, pourrait-elle également favoriser la santé et le bien-être de la population ? »

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Et les éléments de réponses sont sans appel.point 40 | D’abord parce que les femmes se penchent davantage sur des problématiques sociales : « Comparativement à leurs homologues masculins, les politiciennes sont plus susceptibles d’avoir des attitudes de gauche (à l’égard de questions comme les droits civils, l’égalité sociale et l’égalitarisme) et de faire progresser considérablement les droits des femmes dans des domaines comme l’équité salariale, la violence faite aux femmes, les soins de santé et les politiques familiales.point 498 |

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 »point 4 | 1

Mais ce n’est pas tout, leur façon de travailler est diamétralement opposée à celle des hommes : « La recherche a montré que les femmes au gouvernement ont tendance à travailler de manière plus collaborative et bipartisane et à employer un style de leadership plus démocratique que le style plus autocratique des hommes. Les femmes sont également plus efficaces pour former des coalitions et parvenir à un consensus. « 

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Pour toutes ces raisons, la présence de femmes au gouvernement permettrait des réduire les taux de mortalité : « Dans une étude antérieure, nous avons constaté que quatre types de dépenses des gouvernements provinciaux permettent de prévoir des taux de mortalité plus faibles : les soins médicaux, les soins préventifs, les autres services sociaux et l’éducation postsecondaire.

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Lorsque nous avons testé les dépenses gouvernementales comme facteur de médiation, nous avons constaté que les femmes au gouvernement au Canada ont réduit les taux de mortalité en déclenchant ces types particuliers de dépenses en faveur de la santé. »

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