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Si vous voulez vous attaquer à de gros problèmes, essayez de penser comme une abeille.


Les abeilles domestiques peuvent nous montrer le pouvoir qu’il y a à penser petit, dit l’apicultrice Marianne Gee.

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Nouveau mois. Nouveau jour. Nouvelle feuille. Vous vous êtes donc réveillé et vous avez décidé que vous alliez enfin vous attaquer au gros, gros problème qui vous pesait – peut-être que c’est pour soutenir vos bibliothèques publiques, aider les chiens et les chats sans abri ou lutter contre le changement climatique.

Pourtant, même si vous aimeriez agir, vous êtes arrêté par des doutes persistants : « Par où dois-je commencer ? Et même si je fais quelque chose, est-ce que ça comptera vraiment ? »

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En ce qui concerne les changements climatiques, par exemple, les plus grands esprits du monde ont du mal à trouver des solutions. En attendant, vous êtes quelqu’un qui lutte pour apporter vos sacs réutilisables au magasin.

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Mais il est peut-être temps de chercher ailleurs l’inspiration – comme l’humble abeille domestique.

Ils peuvent nous montrer que penser petit est peut-être la meilleure façon de voir grand, selon l’apicultrice Marianne Gee, qui vit à Ottawa, au Canada.

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La durée de vie d’une abeille ouvrière varie de six semaines (en été) à vingt semaines (en hiver). Elle passe la plus grande partie de sa brève existence à récolter du nectar pour faire du miel.

Selon M.point 180 | Gee, « une abeille dans sa vie ne fait que 1/12e d’une cuillère à café de miel » – une infime fraction des cent livres de miel dont une colonie typique a besoin pour survivre.point 342 |

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« Ce qui est le plus remarquable, ce n’est pas qu’elle fasse le travail, c’est qu’elle ne le fait même pas pour elle-même « , ajoute-t-elle.point 147 | Une abeille ne profitera pas directement du miel qu’elle produit ; au contraire, elle permettra aux générations futures de s’épanouir après son départ.point 293 | 1

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C’est aussi ainsi que nous pouvons changer le monde – en ne nous préoccupant pas de l’importance de nos contributions et en laissant nos efforts se joindre aux actions des autres.

Mme Gee elle-même a été bouleversée par les pesticides et les maladies qui nuisaient aux abeilles domestiques du monde entier et a réfléchi à ce qu’elle et son mari pourraient faire pour réparer le système agricole en difficulté.

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Un jour, alors qu’elle s’occupait de ses ruches, elle se rendit compte : « Je suis insignifiante, mais mon 1/12 de cuillère à café compte. » Elle a trouvé un but en démarrant une ferme urbaine, en aidant les gens à planter des parcelles de jardin sur leurs toits et dans leurs cours d’école, et en enseignant aux apiculteurs débutants.

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Continuez donc à faire du miel. Votre 1/12e de cuillère à café compte.