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Slut-shaming: Une institutrice interdit à une fille de 7 ans de porter une robe qui montre ses épaules

Via http://eastsidenews.org/


Jody Allard vit à Seattle, aux Etats-Unis.

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L’année dernière, sa fille de 7 ans portait une robe à bretelles à l’école. Son institutrice lui a demandé de porter un pull par-dessus, parce qu’il ne fallait pas qu’on voit ses épaules.

Via http://www.femalista.com/

Quand la fille de Jody lui a demandé : « Pourquoi est-ce que je ne peux porter ma robe à l’école ? », sa mère n’a pas su quoi lui répondre. Elle explique sa confusion et sa colère à travers un témoignage :

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« Peut-être que nos vêtements ne définissent pas notre caractère, notre valeur.point 73 | Peut-être qu’ils ne sont pas non plus responsables de la façon dont les autres nous voient ou nous traitent.point 167 | En fait, peut-être que nos vêtements sont juste ce que l’on porte pour nous tenir chaud, ou pas trop, ou parce qu’ils sont doux et nous font nous sentir beaux/belles.point 310 |
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»

A travers ces mots, Jody Allard remet en cause l’existence des codes vestimentaires dans les écoles – et même dans dans le monde professionnel.point 132 | Elle regrette que les autres nous définissent par rapport à ce que l’on porte, comme la longueur de notre jupe.point 228 |

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Elle explique même qu’imposer une façon de s’habiller aux jeunes filles participe à la culture du viol, et l’oppression des femmes et la dépréciation : « Le problème des codes vestimentaires est que quand on dit à nos filles qu’elles doivent couvrir leurs épaules, jambes ou poitrine, on créé de la honte autour de leur corps. »

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Elle va même plus loin : « Et on apprend à nos fils et filles que si une fille découvre l’une de ces parties, elle ne mérite pas le même respect ».

Via http://www.seventeen.com/

Dans son témoignage, Jody Allard prône la fin des codes vestimentaires et des idées que l’on peut se faire en jugeant quelqu’un au premier regard. Une femme qui porte une jupe ne demande pas à être violée.

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De plus, elle déplore que certaines écoles gâchent leur temps à sanctionner les filles qui portent des robes sans manches : si les filles pouvaient s’habiller comme elles le voulaient, elles pourraient se concentrer sur leurs cours. « C’est, après tout, le but d’aller à l’école », comment Jody.

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Un témoignage qui a le mérite de remettre en question les codes vestimentaires imposés aux femmes. Qu’en pensez-vous ? Le débat est ouvert dans les commentaires !

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