Un homme de 29 ans originaire de Floride aurait tué une petite fille de 7 semaines par frustration.
Selon les informations rapportées, Artem Eydelman aurait maltraité le nouveau-né jusqu’à ce qu’il meure.
Il est accusé du meurtre au premier degré de Gwendolyn Eydelman. Selon la déclaration publiée par les officiers du bureau du shérif du comté de Pinellas, quand Artem changeait les couches de sa petite fille, il était frustré et frappait le nouveau-né.
L’incident s’est produit le 17 novembre chez Artem. Les policiers ont répondu à un rapport concernant un enfant qui ne réagissait pas et quand ils sont arrivés sur les lieux, la petite Gwendolyn ne respirait plus et ils ont remarqué qu’elle avait subi des blessures mettant sa vie en danger.
Elle a été emmenée à l’hôpital pour enfants John Hopkins. Après l’avoir diagnostiquée, les médecins ont déclaré à la police que le crâne de Gwendolyn avait été gravement fracturé. Elle souffrait d’une hémorragie interne au crâne et ses côtes étaient également gravement fracturées.
Les blessures ont indiqué que le nouveau-né avait été frappé de manière constante avec force et que les côtes fracturées étaient dues à la compression. Les médecins ne pouvaient rien faire pour sauver Gwendolyn.
D’après le rapport, Artem gardait la petite Gwendolyn pendant que sa mère était au travail. Les autorités disent qu’Artem n’est pas le père biologique de Gwendolyn, mais sa signature est visible sur son acte de naissance.
Selon la mère, Mariah, 26 ans, elle a rencontré Artem alors qu’elle était enceinte de trois mois de Gwendolyn.
Cependant, le suspect, Artem, a une histoire différente à raconter. Il a dit qu’après avoir nourri Gwendolyn et l’avoir mise au lit; il s’est assoupi dans son lit. Selon les députés, le berceau de Gwendolyn est situé dans la chambre de Mariah et Artem.
Artem a affirmé que lorsqu’il s’était réveillé tout à coup, il avait trouvé le nouveau-né qui gisait dans son berceau et elle ne respirait plus.
Il a dit que c’était lui qui avait alerté la famille et appelé le 911. Cependant, lors de l’interrogatoire, les autorités ont constaté plusieurs irrégularités dans les déclarations d’Artem.
Après enquête, il a été révélé qu’il frappait le nouveau-né à la tête et le serrait si fort qu’il a perdu conscience.
Il a par la suite admis qu’il avait frappé la petite fille à la tête par frustration lorsqu’il avait changé sa couche.
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