Un homme qui pourrait être impliqué dans l’enquête des viols sur cinq jeunes filles entre 1998 et 2008 est de nouveau traqué par la police judiciaire.
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Connus par son surnom de « Prédateur des bois » cela fait maintenant plus de 20 ans qu’il est toujours dans la nature.
Onze ans après son dernier meurtre commis en région parisienne, la police judiciaire a publié un nouvel appel à témoins pour obtenir de nouvelles informations qui permettraient de mettre la main dessus et de le mettre hors d’état de nuire.
Pour le moment, les policiers ne savent que peu de choses de lui.
D’après leurs informations, l’individu est de type européen et serait maintenant âgé d’une soixantaine d’années. Il mesurerait entre 1m80 et 1m90 avec des yeux bleus très clairs et un « regard d’acier » qui a marqué ses victimes tellement il semblait dur.Les victimes ont aussi décrit un visage très dur et tendu, une corpulence plutôt mince, des cheveux grisonnants coupés assez court, une petite boucle d’oreille et des rides sur son front.
Les enquêteurs de la Direction centrale de la Police judiciaire l’ont surnommé « le prédateur des bois » car il avait violé au moins cinq femmes entre 1998 et 2008 dans des bois français et son ADN a été retrouvé sur les cinq victimes.L’homme est toujours décrit comme « très dangereux » par la justice.
Un mode opératoire bien huilé !
Toutes les victimes ont été prises au piège par le même mode opératoire, il enlevait les filles avant de les conduire dans les bois pour abuser d’elles.
Son premier acte remonte au 4 décembre 1998 où il enleva une adolescente de 16 ans près de La Rochelle (Charente-Maritime) avant de la violer dans un bois aux alentours.
Ensuite, le 1er avril 1999, une jeune fille de 18 ans est également la victime du violeur.Cette fois-ci, à bord d’une Peugeot 205 l’homme faisait mine de chercher son chemin.
La jeune fille accepta de prendre place dans la voiture pour le guider mais le détraqué la menaça avec un cutter en lui interdisant de le regarder.La fille sera violée dans un bois de Saint-Aubin (Essone).
Après un an de calme, l’homme récidiva le 16 avril 2000 en reproduisant la même scène à Antony (Hauts-de-Seine), la jeune victime de 15 ans sera conduite sous le menace d’un cutter dans un bois de Limours-en-Hurepoix (Essone) pour être ensuite violée.
La même année, le 3 juillet 2000, une jeune femme est enlevée à Versailles (Yvelines) alors qu’elle attendait un bus.
Elle sera conduite dans un bois de Loges-en-Josas (Yvelines) puis violée par le prédateur sexuel. À cette époque, l’homme possédait une Renault 25 grise avec une pancarte « A vendre » sur la vitre arrière.Huit ans plus tard, le 8 juin 2008, une adolescente de 16 ans est enlevée dans le hall d’un immeuble du 13ème arrondissement (Paris). Comme à son habitude, elle est menacée par un couteau avant d’être conduite dans une Renault Clio bleu foncé dans la forêt des Grands-Avaux (Essonne). La jeune fille est malheureusement violée avant que son agresseur l’abandonne sur place
2001 : La police lance un premier appel à témoins !
La police décide de diffuser un appel à témoins en décembre 2011 afin d’avoir des chances de retrouver cet homme.
A cette époque le grand public à découvert les images de vidéo-surveillance de l’immeuble du 13ème arrondissement où la jeune fille a été enlevée ainsi qu’un portrait-robot.
Au cours de l’année 2000 les policiers de la brigade de protection des mineurs ainsi que les enquêteurs de la section de recherche de la gendarmerie de Paris ont fait le lien entre le viol de 2008 ainsi que plusieurs affaires similaires qui se sont déroulées dans l’Essonne.Ils ont découvert que l’ADN était le même dans toutes ces affaires.
Le nouveau portrait-robot est diffusé massivement depuis avril 2019 car il est plus lisible et surtout réalisé avec un logiciel bien plus performant et précis. Le portrait-bobot de 2011 n’avait pas été publié à l’échelle nationale.
Si vous avez des informations permettant d’aider les enquêteurs, merci de contacter le groupe d’investigations et de coordination sur les crimes en série (GICCS) et l’Office central pour la répression des violences aux personnes 0.800.35.83.35 ou [email protected]
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