Un père de 24 ans a été emprisonné après avoir secoué son petit garçon d’à peine cinq semaines avec une force incroyable parce qu’il était jaloux que sa petite amie soit partie en soirée.
Mehmet Tufan, originaire de Liverpool au Royaume-Uni, aurait secoué son fils en bas âge avec une telle puissance que le bébé serait maintenant aveugle et avec des dommages permanents au cerveau.
Suite à cette agression cruelle, Mehmet a été condamné à deux ans de prison pour avoir agressé un enfant en raison de «frustration ou colère».
L’attaque brutale a eu lieu quelques instants après que le jeune père se soit disputé avec sa petite amie par SMS. Mehmet serait devenu fou furieux lorsque sa petite amie lui a dit qu’un homme voulait danser avec elle pendant sa soirée. Il aurait alors dissipé sa colère sur son bébé.
À la suite du message de sa petite amie, le jeune homme de 24 ans était en rage et a commencé à secouer son fils de cinq semaines de façon incontrôlable. L’agression brutale lui aurait causé «une grave lésion cérébrale, du sang dans sa colonne vertébrale et de graves hémorragies rétiniennes».
Le père avait d’abord nié avoir infligé intentionnellement des lésions corporelles à son enfant. Puis, il a accepté le plaidoyer qualifiant l’attaque de « perte momentanée de contrôle ». Le juge a également reconnu que Mehmet avait été pris de panique et d’angoisse, ce qui avait contribué à sa perte de contrôle.
Le juge Robert Warnock a condamné le jeune père à une peine de deux ans d’emprisonnement et a déclaré:
«Pendant que vous étiez seul responsable de votre fils, vous êtes devenu jaloux de l’absence de la mère et vous avez traité votre fils de manière totalement inappropriée ce qui la blesser de manière significative.»
«Les conséquences pour votre fils sont effroyables. Son cerveau est gravement endommagé. Il n’a jamais eu et n’aura jamais une qualité de vie appréciable. Sa durée de vie a été considérablement raccourcie.»
«Aucune sentence que je pourrais donner aujourd’hui n’aidera votre fils à vivre la vie à laquelle il avait droit. Et je ne peux pas enlever la douleur et la souffrance que vous avez infligées aux autres et à vous-même du fait de votre perte de contrôle cette nuit-là.»
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