Suzie Skougard et sa fille, Carly, sont allées faire les courses dans leur magasin habituel.
Carly n’est qu’un bébé, et toutes les mères savent à quel point il est compliqué de se rendre en magasin avec un enfant en bas âge.
Cet après-midi là, Suzie a été confrontée à plusieurs personnes très malpolies. Le fait que sa fille soit atteinte de trisomie n’aide pas dans le regard des gens.
Par exemple, une première personne a vivement critiqué Suzie pour ne pas avoir mis de chaussures à sa fille. Cela dit, Carly portait des chaussures, qu’elle venait simplement d’enlever (comme le font très souvent tous les bébés).
Ensuite, un employé du magasin n’a montré aucun intérêt à la question de Suzie (qui cherchait simplement un article), pas plus que d’autres clients qui ont bousculé la mère et la fille parce qu’ils étaient pressés.
Toutes ces péripéties ont fatigué Suzie, mais également Carly, qui commençait à avoir faim et à être fatiguée – encore une fois, comme tous les bébés.
Et c’est une caissière du magasin, elle aussi atteinte de trisomie, qui a égayé la journée de Suzie. Après avoir encaissé les deux clientes, cette caissière a pris le temps d’interagir avec Carly.
Selon les mots de Suzie, la caissière a montré quelques signes à Carly (les enfants trisomiques apprenant très souvent le langage des signes dans leur enfance) mais surtout, elle a donné son sourire à la jeune mère et son enfant.
D’après Suzie, beaucoup trop de gens pensent que les personnes handicapées ne contribuent pas au bien-être de la société et elle le ressent tous les jours. Grâce à cette caissière, Suzie et sa fille ont senti qu’elles comptaient.
Que pensez-vous de cette histoire ? Une belle anecdote qui montre encore une fois qu’on devrait tous s’entraider, n’est-ce pas ? Donnez votre avis en commentaires !