Si vous aimez visiter des endroits fantasmagoriques, cette forêt hantée située dans l’Essex en Angleterre pourrait bien faire partie de votre liste des prochains endroits à visiter.
Cash’s Well (Le puits de Cash), situé à Langdon Hills Country Park près de Basildon, est populaire auprès des enquêteurs paranormaux et des chasseurs de fantômes depuis les années 1920.
On prétend que la région abrite des esprits, qui font pleurer les gens et «veulent tuer». Un journaliste d’Essex Live et un groupe de chasseurs de fantômes se sont récemment rendus dans la région.
Selon les chasseurs de fantômes, le puits serait fréquemment visité par les esprits, notamment une femme avec 20 enfants et un homme en uniforme.
Russell Old, un chasseur de fantômes, a déclaré à Essex Live qu’il invitait les fantômes à interagir avec les touristes chaque fois qu’il emmenait des visiteurs dans cette zone.
«Nous demandons à nos invités de rester là et aux enfants de venir leur tenir la main», a déclaré Russell.
«Nous leur demandons de tirer sur les doigts des invités, deux fois pour un garçon et une fois pour une fille, et ils ressentent cette sensation physique.»
Le puits a été construit par Edwin Cash dans les années 1900. Il voulait vendre l’eau riche en minéraux du puits, mais son entreprise s’est effondrée.
Edwin est décédé en 1931, mais des rumeurs disent que son esprit réside toujours dans le puits.
Russell a ajouté: «Puis tout le monde se lève, se tient la main et on attire l’énergie. Il y a des gens qui sont tombés sur le puits après avoir été poussé, et nous avons tout le groupe qui a été poussé dehors.»
«Nous avons des gens qui sont venus ici sans nous croire, et qui se sont retrouvés poussés par terre. Des gens ont même dit: « Pourquoi mes mains bougent-elles? »»
«Les gens essayaient de garder leurs mains en bas mais ils ne pouvaient pas, et toutes les mains étaient en l’air.»
«De l’autre côté à travers les buissons, c’est un peu sinistre, on pouvait voir des anomalies de lumières. C’est en grande partie psychologique, mais vous avez beaucoup de personnes qui ne veulent pas se mettre dos à la fenêtre ou à la porte.»
Russell a déclaré que la situation était encore pire près d’un pont et même lui ne s’en approchait jamais.
Il a dit: «Il y a un pont sur lequel nous allons très rarement car c’est sombre et sinistre.»
«Un jour, il y avait un homme dans notre groupe qui mesurait plus de 2 mètres. Il était trapu, large, et c’était le plus gentil à qui on pouvait parlé. Mais nous l’avons emmené au sommet de la colline et il est devenu très agressif.»
«Les autres me disaient qu’il n’avait jamais parlé à quelqu’un de la sorte. Il jurait et balançait ses bras. On devait donc le contenir. Il n’était pas attaqué, il sentait juste l’énergie autour de lui.»
«Nous avons dû lui parler pour le faire sortir de sa trance et tout à coup il est revenu à nous. Il a dit: « Je voulais juste tuer tout le monde ». On était inquiet, on regardait ses mains et on pouvait voir qu’il se contenait vraiment.»
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