Les personnes anti-vaccination ont reçu des commentaires négatifs venant d’autres parents qui souhaitent protéger leurs enfants contre les maladies mettant leur vie en danger.
Jennifer Hibben-White a déclaré qu’ils le méritait après avoir reçu un appel d’un centre de santé local l’informant que son fils avait été exposé à la rougeole.
Son fils Griffin n’avait que 15 jours. Il était trop jeune pour avoir été vacciné.
Les enfants reçoivent leur premier vaccin ROR vers l’âge de 12 à 15 mois. Jusqu’à ce que les bébés le reçoivent, ils doivent compter sur leur propre système immunitaire.
Outragée et dévastée, Jennifer a partagé un message puissant sur Facebook et les gens ont immédiatement manifesté leur soutien.
Jennifer Hibben-White a écrit: « Voici mon fils Griffin, et il a peut-être la rougeole. »
« Le 9 février, j’ai reçu un appel téléphonique de la santé publique de la région de York, m’informant que Griffin aux côtés de ma mère et moi, avait été potentiellement exposé au virus de la rougeole lorsqu’elle assistait à un rendez-vous de pesée du nouveau-né chez son médecin à Markham le 27 janvier dernier. »
« Griffin avait 15 jours à l’époque. »
Elle a expliqué qu’un personne qui avait développé la rougeole était assis dans la salle d’attente avant leur arrivée.
«On m’a ensuite demandé si j’avais eu le vaccin contre la rougeole. J’ai l’ai eu mais pas Griffin. Il ne peut pas.», a-t-elle exprimé.
«Et je suis en colère. Terriblement en colère.»
«Je ne m’énerverai pas et ne blâmerai pas la personne dans la salle d’attente. J’aurais probablement fait la même chose… Quand on tombe malade, on va chez le médecin. Je n’ai aucune idée de son histoire et je ne la saurai jamais. Mais je sais une chose:
Si vous avez choisi de ne pas vous vacciner ou votre enfant, je vous en veux. Je vous blâme.»
«Vous vous êtes appuyé trop longtemps sur notre protection collective. Nous vous avons accordé le PRIVILÈGE de notre protection, gratuitement. Et en retour, vous m’avez donné cette semaine. Une semaine infernale. Dans laquelle je ne sais pas si mon bébé développera quelque chose qui a la mort comme résultat potentiel.»
« LA MORT. »
Elle a également ajouté: «Vous pensez pouvoir protégez vos enfants du thimérosal? Mais ce n’est pas le cas. Ce n’est pas dans leur vaccin.»
«Vous pensez les protéger de l’autisme? Mais ce n’est pas le cas. Il n’y a rien dans la science qui prouve cela. Si vous voulez utiliser Google au lieu de la science pour «prouver que je me trompe», je suis heureuse de vous traiter d’imbécile et de personne mal informée.»
«Vous pensez que vous les protégez par le biais d’extraits et d’homéopathie, de pensées positives et de lois de l’attraction et en dansant à la pleine lune? Ce n’est pas le cas. JE PROTÈGE VOTRE ENFANT. Nous protégeons votre enfant. En étant des citoyens du monde soucieux de nous-mêmes, de nos semblables et de nos plus vulnérables. Nous nous vaccinons et nous vaccinons nos enfants.»
«Vous pensez que vous les protégez en leur permettant de manger leur pelle pleine de saleté, en réduisant les antibiotiques et en consommant des produits biologiques? Ce n’est pas le cas. En tant que personne non vaccinée, vous n’êtes protégé que par nos bonnes grâces. NOUS VOUS PERMETTONS D’ÊTRE SI PRIVILÉGIÉS grâce à notre volonté de vous vacciner et de vacciner nos enfants.»
«Vous savez de quoi les vaccins protègent vos enfants? La douleur. La souffrance. Un préjudice irréparable. La mort.»
«Et vous seriez le premier à faire la queue si vous aviez une idée de ce à quoi ressemble la mort d’un enfant. Vous ramperiez dans les rues à quatre pattes, en suppliant de commencer à administrer ce vaccin à vos précieux bébés parce que c’est ce que j’aurais fait, si j’avais pu, pour sauver ma fille.»
«Le fait est qu’il n’y avait pas de vaccin pour elle. Pas pour sa maladie. Et elle est morte. Elle est morte à l’âge de cinq ans et demi et elle est partie.»
«Et je regarde ces arguments écrits sur Facebook et Twitter, citant de fausses données scientifiques et de longues « études » discréditées qui ne s’arrêtent pas et la citation de Jenny McCarthy « C’EST MON choix » de ne pas vacciner … et je me dit … que feriez-vous si votre enfant était mourant? Souhaiteriez-vous lui donner un vaccin scientifiquement prouvé, sûr et efficace et risquer une probabilité infime d’effet indésirable? Ou les laisseriez-vous partir, sachant qu’au moins ils ne développeraient pas l’autisme (qu’ils ne développeraient même pas de toute façon grâce à la SCIENCE)?»point 573 | 1
«Et puis, n’OSEZ pas me dire que vous ne les vaccineriez pas alors. Vous n’oseriez pas. Vous n’avez aucune idée de ce que cela fait de vivre ce que nous avons vécu.»
«Alors, regardez Griffin. Dites-moi pourquoi il supporte le poids de votre stupidité et de vos abus inconsidérés de notre protection? Dites-moi.»
«Encore sept jours avant que je sache si mon bébé est en sécurité. Sept jours de plus. Comment se passe votre semaine, monsieur/madame anti-vaccination?»
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