En plein procès, Patrick Balkany s’est encore une fois emporté osant une comparaison qui n’est pas passé inaperçue.
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La suite du procès des époux Balkany pour usurpations de fonds entre autre se tenait ce jeudi 23 mai. Le maire de Levallois-Perret (Haut-de-Seine) assurait que le fisc français n’avait pas été spolié lors de ses montages financiers, après que le Tribunal est examiné leur villa aux Antilles et leur demeure dans l’Eure.
Accusé d’être un fraudeur fiscal
Les circuits monétaires liés à ses achats de biens immobiliers sont d’origine étrangère. Notamment d’une société dont il serait le gérant immatriculé au Lichtenstein, dont l’argent proviendrait d’un compte bancaire suisse.
Patrick Balkany déclare « avoir l’impression qu’on fait le procès des Juifs qui après la guerre avait pris leurs dispositions ». Puis précise que lui et la communauté juive connaissent le sens du verbe spolier, en référence aux oeuvres d’arts volées aux Juifs pendant la guerre.
Il est regrettable que l’excuse des Juifs et la guerre servent aujourd’hui à justifier des actes faits par des personnes reconnues coupables de détournement de fond, et certainement avec très peu de morale.
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