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Brésil: une sculpture de vulve géante pour dénoncer « les tabous sexuels imposés aux femmes »

Image de Juliana Notari / Facebook


Cette sculpture de vulve géante créée par l’artiste brésilienne Juliana Notari a rapidement fait le tour du monde.

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Une sculpture de vulve géante pour débattre du genre

 

Au Brésil, qui est un pays plutôt conservateur, une oeuvre d’art représentant la sculpture d’une vulve géante a été installée sur une colline de la commune d’Agua Preta, près de la capitale de l’État de Pernambuco. Cette sculpture nommée « Diva » et créée par Juliana Notari a pour objectif de débattre sur la place de la femme dans notre société actuelle.

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« Ces questions sont de plus en plus urgentes », indique l’artiste brésilienne dans un post Facebook.

« Je cherche à aborder la réflexion sur l’inégalité des sexes et aussi sur la destruction de la planète Terre, en tant qu’entité et être vivant. La vulve représente la naissance, d’où vient la vie, et l’œuvre construite sur la terre rappelle où chacun va après la mort, dans la nature », a expliqué la créatrice de l’oeuvre au journal brésilien Metroples.

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Une vulve géante de plus de 30 mètres de long

 

La sculpture de vulve géante créée par Juliana Notari mesure 33 mètres de long et 6 mètres de profondeur.point 146 | Comme couleur, l’artiste a choisi différentes teintes de rouge qui rappellent les règles des femmes.point 244 |

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Selon la brésilienne, le sexe féminin et les règles sont des sujets encore trop tabou dans notre société.point 173 | C’est d’ailleurs une des raisons qui fait que son oeuvre d’art a été très critiquée.point 265 |

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« Tous ceux qui trouvent ça moche sont taxés de fascistes, oh mon Dieu ! Si elle voulait son quart d’heure de célébrité, elle l’a eu », a écrit une internaute sous la publication Facebook de l’artiste.point 195 | 1

Juliana Notari espère faire évoluer les mentalités grâce à sa sculpture de vulve géante et en finir avec la société patriarcale et phallocentrée.

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Image de Juliana Notari / Facebook
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Image de Juliana Notari / Facebook
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Image de Juliana Notari / Facebook

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Image de Juliana Notari / Facebook

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