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Confinement : Son institut fermé, une esthéticienne travaille dans un abattoir

Crédit photo : Futura-Sciences


Une mission d’intérim pour sauver son institut.

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Difficile de faire vivre son entreprise avec les confinements

 

Difficile de faire vivre son entreprise avec le coronavirus. Le premier confinement a déjà fait fermé plusieurs entreprises qui n’ont pas réussi à survivre, et ce reconfinement est un nouveau coup dure pour ceux qui s’en étaient sortis.

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En Bretagne, une esthéticienne a dû une nouvelle fois fermer les portes de son institut pendant ce reconfinement. Mais les charges fixes, de 1 500 euros par mois, continuent de tomber.

 

Son institut fermé, une esthéticienne travaille dans un abattoir

 

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Incapable de survivre économiquement, Malvina Trégine a trouvé une solution de secours. Pour ne pas assécher la trésorerie de sa jeune entreprise, cette esthéticienne de 27 ans a rapidement trouver un travail pour pouvoir payer ses charges en cours.

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La jeune femme a accepté une mission en interim, trois jours après l’annonce du reconfinement, dans un des plus grands abattoirs de porcs de Bretagne.

 

 

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