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Covid-19 : L’ONU voudrait totalement interdire les marchés d’animaux sauvages pour éviter de nouvelles pandémies


L’alerte est donnée par l’ONU alors que la destruction de la nature est de plus en plus considérée comme un facteur clé des

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maladies animales.

Interdire les marchés d’animaux sauvages

Le responsable de la biodiversité des Nations unies a appelé à une interdiction mondiale des marchés d’animaux sauvages – comme celui de Wuhan, en Chine, qui serait le point de départ de l’épidémie de coronavirus – afin de prévenir de futures pandémies.

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Elizabeth Maruma Mrema, secrétaire exécutive par intérim de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique, a déclaré que les pays devraient agir pour prévenir de futures pandémies en interdisant les « marchés humides » qui vendent des animaux vivants et morts pour la consommation humaine, mais a mis en garde contre les conséquences involontaires.

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La Chine a interdit temporairement les marchés d’animaux sauvages

La Chine a émis une interdiction temporaire des marchés d’animaux sauvages où des animaux tels que les civettes, les petits loups vivants et les pangolins sont maintenus en vie dans de petites cages pendant la vente, souvent dans des conditions sales où ils incubent des maladies qui peuvent ensuite se répandre dans les populations humaines.point 363 |

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De nombreux scientifiques ont demandé à Pékin de rendre l’interdiction permanente.point 81 | 1

Jinfeng Zhou, secrétaire général de la Fondation chinoise pour la conservation de la biodiversité et le développement vert, a appelé les autorités à rendre permanente l’interdiction des marchés d’animaux sauvages, avertissant que des maladies telles que le Covid-19 réapparaîtraient.

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