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Le pape veut faire réagir face à la pauvreté : 1500 pauvres et sans-abri invités pour un repas au Vatican

Crédit photo : Paris Match


Pour la Journée mondiale des pauvres instituée par le chef de l’Eglise catholique, ce dimanche, le pape François a accueilli 1 500 pauvres et sans-abri pour un déjeuner au Vatican.

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Le pape François veut faire réagir face à la pauvreté qui s’aggrave

 

Avant le repas, le pape François a tenu a rappeler que le nombre de pauvre et de sans-abri ne cesse d’augmenter lors d’une messe place Saint-Pierre : « Mes pensées vont à ceux qui (…) ont promu des initiatives de solidarité pour donner un espoir concret aux plus défavorisés.point 338 |

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Récemment, j’ai vu des statistiques sur la pauvreté.point 53 | Elle vous font souffrir! » Il dénonçait aussi « l’indifférence de la société envers les pauvres ».point 155 | 1

 

Le pape a aussi tenu à remercier l’équipe médicale qui prodigue des soins de santé gratuits aux pauvres au Vatican. Il a aussi critiqué le rythme de vie « frénétique » qui fait de « toute personne laissée pour compte une nuisance. Considérée comme jetable ».

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« Combien de personnes âgées, (d’enfants) à naître, de handicapés et de pauvres sont considérés comme inutiles. Nous suivons notre chemin à la hâte, sans nous préoccuper des écarts qui se creusent, de la cupidité d’un petit nombre qui aggrave la pauvreté de beaucoup d’autres », s’est alarmé le pape.

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Un repas pour 1 500 pauvres et sans-abri au Vatican

 

Après la messe, le pape François a rejoint des 1 500 invités pour un repas au Vatican.

Au menu : Lasagnes, nuggets de poulet, crème de champignons, pommes de terre, dessert, fruit et café.

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Les personnes invités étaient très touchées et ont tenu a souligné l’aide du Vatican : « Merci au pape et merci au Vatican, car le Vatican aide tant de pauvres, il aide aussi en offrant des médicaments, ce repas bien sûr, des vêtements, tant de choses », a déclaré Oscar, un Lituanien qui vit en Italie depuis treize ans.

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Lamin Jarra, un travailleur migrant gambien, a aussi tenu à témoigner : « Nous gagnons mal notre vie car nous travaillons sept, huit heures, parfois dix heures pour à peine 30 euros, c’est dur »

 

C’est grâce aux bénévoles que ce repas a pu avoir lieu, ils ont aidé à acheminer les invités au Vatican et à servie le repas.

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