X
    Categories: Actus

Scandale Griveaux : Le cauchemar vécu par Benjamin Griveaux et sa famille remonte à plus loin que la diffusion des vidéos intimes


Le

ADVERTISEMENT

scandale qui fait l’actualité depuis le 14 février dernier autour de la diffusion des vidéos intimes de Benjamin Griveaux n’est que le point culminant du cauchemar que vit sa famille et sa femme en particulier, depuis 2018.

Un cauchemar qui dure depuis 2018

Benjamin Griveaux, ancien candidat La République en Marche a abandonné la course pour les élections municipales à Paris .point 339 |

ADVERTISEMENT

Une décision qu’il a prise après la circulation sur le web de ses vidéos intimes à caractère sexuel.point 90 |  L’activiste russe, Piotr Pavlenski, et sa compagne, Alexandra De Taddeo, responsables de cette diffusion, ont depuis été placés en garde à vue.point 220 |

ADVERTISEMENT

Mais le cauchemar de Benjamin Griveaux a débuté bien avant cette affaire.point 66 | Depuis décembre 2018, son épouse Julia Minkowski et lui sont menacés de mort.point 134 | En effet, Julia Minkowski, l’épouse de Benjamin Griveaux, reçoit des menaces de mort par téléphone et par courrier depuis 2018.point 373 |

ADVERTISEMENT

Benjamin Griveaux a évoqué recevoir des menaces comme « on sait où tes enfants vont à l’école » ou encore « on va te faire la peau ».point 131 | 1

De plus, avec la contestation des Gilets jaunes, Benjamin Griveaux ne sortait presque plus les samedis, par crainte de croiser des gilets jaunes.point 254 |

ADVERTISEMENT

 Le 5 janvier 2019, le ministère de celui qui était alors porte-parole du gouvernement avait été attaqué par un engin de chantier conduit par des Gilets jaunes, alors que lui-même était en pleine interview avec des journalistes.point 204 |

ADVERTISEMENT

Il avait alors dû être exfiltré par la sécurité.point 45 | Mais ce n’est pas tout, lors de l’acte 9, le 12 janvier 2019, une cinquantaine de manifestants avaient tenté d’approcher la résidence secondaire de Benjamin Griveaux en Saône-et-Loire.point 223 |

ADVERTISEMENT

Ils avaient renoncé après que d’importants renforts de gendarmerie ont été déployés.point 85 | Sa résidence secondaire est depuis protégée par une équipe de sécurité.point 152 | 1

Durant la conférence de presse où il a annoncé son retrait de la course aux municipales, il avait évoqué le cauchemar vécu par sa famille : « Ma famille ne mérite pas cela, personne au fond ne devrait subir une telle violence. Depuis plus d’un an, ma famille et moi avons subi des propos diffamatoires, des mensonges, des rumeurs, des attaques anonymes, la révélation de conversations privées dérobées ainsi que des menaces de mort ».

ADVERTISEMENT

Un cauchemar d’autant plus intense depuis la diffusion des vidéos intimes

La diffusion des vidéos intimes n’a été que la goute d’eau qui a fait déborder le vase. Il semblerait que ce nouveau coup dur a intensifié le cauchemar dans lequel la famille Griveaux est plongé depuis plusieurs mois.

ADVERTISEMENT

Durant la conférence de presse où il a annoncé son abandon aux municipales, Benjamin Griveaux a déclaré qu’il voulait protéger sa famille. « En ce qui me concerne, je ne souhaite pas nous exposer davantage, ma famille et moi, quand tous les coups sont désormais permis. Cela va trop loin ! », a-t-il lâché. L’ex-candidat n’a pas caché le coût de sa décision, mais il a souligné que ses priorités sont avant tout les membres de sa famille.

ADVERTISEMENT

Depuis la diffusion des vidéos, il semblerait que de nouvelles menaces ont vu le jour, et ne sont pas directement liées aux vidéos : « Des menaces ont été détectées qui dépassent le cadre de l’affaire de la vidéo « , comme le rapporte Le Parisien.

ADVERTISEMENT

En effet, depuis samedi dernier, Benjamin Griveaux est  protégé par le Service de la Protection, connu aussi sous le nom de SDLP. L’ex-candidat à la Mairie de Paris ne l’était pas auparavant. Deux policiers de ce service d’élite de la Police Nationale sont dorénavant dédiés à sa sécurité en permanence.

ADVERTISEMENT

À lire aussi :

Après avoir renoncé à sa candidature à la mairie de Paris, Benjamin Griveaux aurait vécu « deux jours de larmes et de colère »