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Une mère en deuil a confronté les médecins qui ont «prélevé les organes de sa fille» après son décès


Une mère a confronté les médecins d’un hôpital en Turquie après le décès de sa fille âgée de 16 ans.

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Sofiya Lanshakova était en vacances en famille à Antalya en Turquie, lorsqu’elle est tombée malade. L’adolescente a été diagnostiqué avec une appendicite aiguë.

Mais après son décès, ses parents sont convaincus qu’elle a été tuée et que ses organes et son utérus ont été prélevés et vendus au marché noir.

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Le père de Sofiya, Vyacheslav Lanshakov, a déjà déclaré à la chaîne de télévision russe TVK6: « Nous soupçonnons qu’il s’agisse d’une transplantation d’organe. »

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Les photos montrent que la mère, Tatiana Lanshakova, a été arrêtée par la police alors qu’elle se plaignait à l’hôpital.

Les images de vidéosurveillance montrent que la mère attendait au bureau puis a approché le personnel de l’hôpital.

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Tatiana Lanshakova

«Je n’aurais jamais cru que je me tiendrais devant la tombe de ma fille», a-t-elle déclaré aux journalistes locaux. Elle a ajouté: «Nous sommes prêts à aller jusqu’à l’exhumation, même si c’est douloureux. Nous avons besoin de la vérité.»

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La vérité reste un mystère, mais les conclusions des autorités russes montrent déjà que l’inspection du corps concordaient avec les affirmations selon lesquelles les organes de l’adolescente auraient disparu. Un rapport médico-légal complet devrait être remis le mois prochain.

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Alexey Erkhov, ambassadeur de Russie en Turquie, a déclaré: «Nous compatissons profondément à la douleur de la mère qui a perdu sa fille. Les diplomates russes continueront d’aider à résoudre cette question.»

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Un représentant de l’hôpital a déclaré: «Nous n’avons pris aucun organe. C’est la police qui l’a fait à l’autopsie.»

Sofiya Lanshakova a été emmenée dans de nombreux hôpitaux privés avant son décès et un porte-parole de la clinique Siedra, où elle a été emmenée pour la première fois, a accusé la mère de ce qui s’était arrivé.

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La porte-parole de la clinique Siedra, Asya Batcheva, a déclaré: «Je pense que la mère est à blâmer – elle n’a pas sonné l’alarme le premier ou le deuxième jour (lorsque sa fille a ressenti des douleurs abdominales).»

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«Quelle preuve ont-ils que quelque chose a été mal fait? Ou des organes ont été prélevés? S’il manquait quelque chose, si des crimes ont été commis contre cette fille, je pense que la procédure pénale sera engagée.»

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