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Mort d’Elisa Pilarski: les résultats des tests ADN sont tombés et bouclent l’enquête


Des résultats qui étaient très attendus pour déterminer le coupable…

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Mort d’Elisa Pilarski: les résultats des tests ADN sont tombés et bouclent l’enquête

Suite au décès d’Elisa Pilarski, qui a été retrouvée morte dans la forêt de Retz le 16 novembre 2019, il fallait retrouver le chien coupable.point 216 |

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Après avoir soupçonné les chiens présents dans cette forêt pour une chasse à courre, c’est le chien de la jeune femme enceinte décédé qui est devenu le suspect numéro 1 suite aux analyses des morsures sur le corps.point 193 | 1

Afin d’en avoir le cœur net, les enquêteurs ont fait plus de 60 prélèvements ADN sur les chiens qui étaient dans la forêt le jour du drame, et les résultats sont tombés aujourd’hui: seul l’ADN de Curtis a été retrouvé sur le corps d’Elisa Pilarski.

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L’association de vénerie «Rallye la Passion» a écrit dans un communiqué: « Réalisés par un laboratoire d’expertise génétique, ces tests effectués sur les 67 prélèvements réalisés ont révélé avec certitude que seul l’ADN du chien de la victime était présent sur les plaies de cette dernière et à proximité.point 300 |

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Les chiens du Rallye la Passion sont donc complétement innocentés et exonérés de toute responsabilité relative à l’accident.point 119 | Les résultats confirment définitivement l’innocence des chiens de la chasse à courre, et incriminent le chien Curtis »point 232 | 1

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Une autre source proche du dossier a déclaré de son côté: « l’ADN d’Elisa a également été retrouvé au niveau de traces de sang sur la babine de Curtis, au niveau de son oeil et de son harnais ».

Elisa Pilarski a été tuée par Curtis…

Nous vous parlions en début de semaine du rapport vétérinaire qui accablait déjà le chien Curtis, un American Staffordshire appartenant au compagnon de la victime, car les lésions d’Élisa correspondraient à l’écartement de la mâchoire de l’animal, de 3,6 cm, soit une taille inférieure d’au moins huit millimètres à celui des chiens de chasse incriminés.

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De plus, le parquet de Soissons avait rendu compte en début d’année de « deux incidents de comportement » de la part du chien après le drame: « Deux personnes ont été saisies par les vêtements pendant l’analyse comportementale tandis qu’une autre personne a été mordue dans la fourrière où le chien est gardé« .

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Un triste dénouement qui aura certainement pour conséquence une fin de vie prématurée pour Curtis, qui n’a pas réagi avec violence sans raison. Il faudra maintenant déterminer pourquoi cet American Staffordshire a eu un comportement agressif, ce qui n’est pas naturel pour un chien…

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